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samedi 10 décembre 2016

AVEC JEFFREY LEE PIERCE... AU DESSUS DU CHARNIER...

Reçu au courrier, hier, pour la "pauvre" revue Ffwl Lleuw
nouveau n° ISSN : 2498 - 1796
et, ce jour, un message d'Alain Marc dont NOUS évoquerons sa collaboration 
avec le musicien André Véchot, en milieu de semaine prochaine.
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Icelle à Icelui : Jeffrey Lee Pierce chante comme au dessus du charnier de l'Humanité 
et il est comme un frère pour toi..
Icelui à Icelui : Comme la toute première fois où je l'ai entendu chanté, j'ai la frissonnante impression que c'est un ange que l'on déchire. 
Je vais ré-écrire pour toi et à tes côtés, toutes
 LES LETTRES DE LA NUIT.
[...] Quand elle dort gracieusement comme une vilaine fille aux cheveux défaits, je la regarde et je me répète en silence 1000 fois 'Aucune balle ne peut faire souffrir autant que l'Amour perdu. Mais rien, non plus ! Ne peut annihiler le pouvoir de l'Innocence." [...]
[...] Jeffrey Lee Pierce, guitare torrides, riffs vénéneux. Prédicateur texan, cinglé au souffle torride... Terre de chiennes et de cobras. De grosses Chevrolets écaillées ; des mustangs noirs indomptés ; ou juste encore l'espace de ta peau blanche-nue. Terriblement Nue ! Petite icône païenne devenir ton aveugle [...] Ne plus voir que ton visage [...] À la lumière de la lueur de la petite bougie que tu as allumés cette nuit avant de NOUS NOUS endormir dans les bras de l'un et de l'autre.
Extrait de : LES LETTRES DE LA NUIT  de
Christian-Edziré Déquesnes,
paru en 1999 à la Station Underground D'Emerveillement Littéraire -S.U.E.L ;
sauf la toute dernière phrase, soulignée en gras,
qui a été écrire ce matin.

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Staggerlee - version 40.

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